Bénéfices physiques du massage pour l'enfant

Le massage d'un bébé offre avant tout un tremplin à la relation parent/enfant. Le couple devient parent, le bébé affirme son identité. C'est un moment privilégié de détente. Tout cela touche un domaine très personnel de l'entité familiale. Ces thèmes sont délicats et méritent de s'y attarder. Mais, plus tard. Aujourd'hui, je voudrais évoquer les bienfaits physiologiques seulement, en gardant à l'esprit l'étroite relation corps/esprit. Les massages , en général, et surtout le massage Thaï pour bébé procure à celui qui le reçoit : Détente et relaxation musculaire , dégage les voies nasales et lacrymales, soulage les poussées dentaires, apaise les douleurs musculaires liées à la mobilisation des petits muscles tout neufs et sans cesse sollicités, permet de prendre conscience du schéma corporel, dégage les vois respiratoires, régule la respiration, calme les colites, régule le transit intestinal, soulage les tensions des tendons, stimule la motricité, tonifie les membres, aide à la préhension des objets, stimule le système immunitaire,, les connexions neuronales. Cette liste n'est qu'une partie des bienfaits , les autres étant d'un autre ordre, mais tellement important!!! Tous les enfants sont concernés et particulièrement, en rapport avec cette liste : les prématurés, les enfants atteints de myopathies, les enfants alités longtemps, en convalescence, les sportifs, les super-actifs, les enfants adoptés, anorexiques... Il existe beaucoup de formes de massages. Je m'y suis intéressée ou formée : tous gardent une base commune, les différences étant d'ordre culturel,climatique, pratique ou visant un but spécifique. Le meilleur massage est celui qui permet d'apporter une réponse à une demande précise , à un moment particulier : désordre physiologique, troubles émotionnels, difficultés familiales. Laisser parler votre coeur de parent, l' instinct de l'enfant qui sommeil encore en vous, et faites vous plaisir à tous les deux! Une question? j'y répondrais sur le blog ou par mail. Catherine;